L’oligothérapie (du grec : oligo – peu/petit) est une méthode développée au début des années 40.

Elle consiste à administrer certains oligo-éléments à un organisme, afin de provoquer des réactions bénéfiques lorsque le métabolisme ne fonctionne pas normalement. Les oligo-éléments sont des éléments chimiques présents en très faible quantité dans l’organisme. On peut par exemple, citer le cuivre le manganèse ou le zinc.

Contrairement à la médecine allopathique, l’oligothérapie n’introduit pas dans l’organisme les oligo-éléments qui manquent. Au contraire, elle administre d’autres oligo-éléments bien précis, qui permettront au corps de mieux assimiler les oligo-éléments qui lui manquent.

On différencie l’oligothérapie classique, où chaque oligo-élément est attribué seul, et l’oligothérapie globale, où l’on attribue plusieurs oligo-éléments qui agissent en synergie.

Une thérapie phare utilisée dans l’oligothérapie est le concept des diathèses de Ménétrier.

La spagyrie est une médecine holistique naturelle très ancienne. Ce mode particulier de fabrication de produits médicinaux remonte aux années précédant la naissance du Christ. Dans la spagyrie (du grec : spao = séparer, ageiro = réunir), les substances actives extraites des plantes sont d’abord séparées, traitées puis à nouveau réunies.

Au Moyen-Age, les termes d’alchimie et de spagyrie étaient encore souvent utilisés dans un sens équivalent.

Le célèbre médecin Paracelse (1493-1541) a été un des premiers à décrire la spagyrie comme une forme d’alchimie, utilisée pour fabriquer des produits médicinaux. Ce fut ensuite le tour du médecin homéopathe Carl Friedrich Zimpel, qui 200 ans plus tard, a établis les fondement de la spagyrie actuelle grâce à ses études et ses expériences.

L’aromathérapie est le traitement des maladies et désordres organiques par les arômes ou huiles essentielles aromatiques. C’est une branche de la phytothérapie. Seules les plantes dites aromatiques permettent de produire, par magie de la distillation ou par expression, des huiles essentielles avec des rendements parfois faibles qui influenceront toujours le prix. La distillation est une opération délicate qui a été conduite artisanalement, à basse température et à basse pression avec de l’eau pure et avec tous les soins nécessaires à l’opération.

On appelle « huile essentielle », le résultat de la distillation ou de l’expression de la plante aromatique.

Les huiles essentielles ou essences aromatiques végétales sont les substances odorantes, volatiles et de consistance huileuse, contenues dans les plantes (aromatiques) sans être des huiles grasses, telles que celles que nous utilisons dans l’alimentation. Elles sont plus ou mois fluides, parfois résinoïdes, souvent colorées (du jaune pâle au rouge foncé, brun en passant par le vert émeraude et le bleu). Ce sont des complexes de molécules pouvant regrouper plus de 200 composants, dont les propriétés sont multiples.

Ces molécules sont nées de l’alchimie de la vie se produisant sous l’action du soleil, de la plante et son environnement. Il s’agit d’une véritable énergie matérialisée, susceptible de nous être restituée par un emploi judicieux.

Les huiles essentielles provenant de plantes sauvages ou de l’agriculture biologique apportent un « plus » énergétiquement non négligeable et seront préférées à celles dont la provenance est inconnue ou douteuse. Il est facile de comprendre qu’une plante ayant subi des apports d’engrais chimiques et de pesticides divers est intoxiquée, donc malade. Son énergie et son action en seront diminuées.

Apprenez à utiliser à bon escient les huiles essentielles et procurez-vous des produits au-dessus de tout soupçons auprès de fournisseurs sérieux. Vous constaterez les bienfaits que nous apportent les trésors de la nature. Vous saurez ainsi favoriser l’action du système de guérison propre à l’organisme. Les huiles essentielles sont utiles à toutes et tous. Il y aura toujours bénéfice à les ajouter à son traitement.

Ne pas utiliser les huiles essentielles chez la femme enceinte ou allaitantes, ainsi que les enfants en dessous de 6 ans.

La phytothérapie, du grec phyton qui veut dire végétal, est la médecine qui soigne par les plantes.

Selon l’OMS, cette phytothérapie est considérée comme une médecine traditionnelle et est utilisée depuis très longtemps et massivement dans de nombreux pays, dont les pays en voie de développement.

La recherche scientifique, bien que le nombre d’études cliniques soit réduit, montre qu’elle est efficace dans le maintien d’une santé optimale ainsi que dans la prise en charge d’états pathologiques.

Notre époque est profondément marquée par la recherche d’une vie plus saine, d’un retour à la nature et aux valeurs essentielles.

Pas son action en douceur et en profondeur, la phytothérapie apparaît comme la réponse idéale aux « maladies du siècle » qui caractérisent nos sociétés, comme le stress, la perte du sommeil ou la prise de poids.

Le succès de La phytothérapie s’exprime également par le niveau de maîtrise technique et scientifique que l’on atteint désormais dans ce domaine. L’agronomie, la phytochimie et la pharmacologie ont permis, en progressant, de mettre au point des formes thérapeutiques et galéniques 100% naturelles, ainsi plus sûres, plus adaptées et plus efficaces.

La phytothérapie regroupe plusieurs domaines :

  • Les teintures mères
  • Les huiles essentielles
  • La spagyrie
  • La gemmothérapie
  • L’herboristerie

La nutrition (du latin nutrire : nourrir) est l’ensemble des processus par lesquels un être vivant transforme des aliments pour assurer son fonctionnement.

La nutrition est également une science pluridisciplinaire, comportant deux grands axes.

  • La physiologie de la nutrition traite la façon dont l’organisme opère la transformation des aliments, c’est-à-dire des processus métaboliques. Ceci comporte l’étude du rôle des macronutriments et micronutriments au niveau des mécanismes biochimiques cellulaires, et les conséquences sur les tissus d’un déséquilibre entre l’énergie absorbée et l’énergie dépensée par l’organisme.
  • La psychologie de la nutrition analyse le comportement alimentaire de l’individu ou du groupe. Elle met l’accent sur des questions telles que « pourquoi mangeons-nous ? » ou « comment choisissons-nous nos aliments ? ». Chez l’homme, ces questions sont en rapport avec des facteurs environnementaux tels que l’environnement construit, les médias et politiques de santé, ainsi qu’avec ses particularités tels que ses revenus ou sa culture.

La nutrition sportive, bien qu’équilibrée comme pour tout en chacun, l’alimentation du sportif doit toutefois s’adapter à des besoins spécifiques liés à l’effort et pour optimiser l’apport et l’utilisation de l’énergie dans le corps, la récupération et la réparation musculaire.

Le But de la nutrition sportive est de proposer aux sportifs les aliments et les suppléments naturels les mieux adaptés à leur pratique, selon qu’ils sont en phase de préparation, de performance ou de récupération.